(Français) David COURTIN
Responsable Axe 3 - GENE
Chargé de recherche
Responsable de l'implantation du Ghana
david.courtin@ird.fr
Accra
(Français) Laure GINEAU
Responsable Axe 3 - GENE
Chargée de Recherche
laure.gineau@ird.fr
Paris
(Français) Euripide AVOKPAHO
Doctorant
a_euripide@yahoo.fr
(Français) Magalie DAMBRUN
Technicienne
magalie.op@live.fr
Paris
Celia DECHA
Chargée de Recherche Responsable de l'implantation du Bénin
celia.dechavanne@ird.fr
Cotonou
(Français) Abdou Khadre Dit Jadir FALL
Doctorant
fallka@yahoo.fr
Paris
(Français) André GARCIA
Directeur de l'UMR
Directeur de recherche
andre.garcia@ird.fr
Paris
(Français) Erasme GBAGUIDI
Doctorant
erasmegb@gmail.com
Autres
(Français) Ghislain KOURA
Personnel associé - The Union

Cotonou
(Français) Alisé LAGRAVE
VI Biologiste
alie.lagrave@ird.fr
Ghana
(Français) Florence MIGOT-NABIAS
Directrice de recherche
Directrice Adjointe de l'UMR
florence.migot-nabias@ird.fr
Paris
(Français) Jacqueline MILET
Ingénieur d'étude et Doctorante
Référent Informatique & données numériques
jacqueline.milet@ird.fr
Paris
(Français) Gabriel MOUAHID
Maître de conférence
mouahid@univ-perp.fr
Bénin
(Français) Audrey SABBAGH
Maître de Conférence des Universités
audrey.sabbagh@ird.fr
Paris
(Français) Mariama SOUFFOU
Doctorante
souffou.saidmariama@gmail.com
Paris

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[vc_row][vc_column el_class=”white-col top-title”][vc_custom_heading text=”Responsable d’équipe : André Garcia” font_container=”tag:h2|text_align:center” use_theme_fonts=”yes” el_class=”orange”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_empty_space height=”15px”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class=”white-col”][vc_column_text]L’équipe « Maladies infectieuses et immunité : susceptibilité génétique et pression de sélection » s’articule autour de 4 thèmes : (1) contrôle génétique de la réponse aux infections tropicales ; (2) contrôle génétique du développement immunitaire ; (3) diversité génétique et structure des populations humaines et (4) maladies infectieuses, auto-immunité et maladies allergiques.

Malgré la mise en place de nouveaux outils de génétique et de statistique les résultats obtenus dans le domaine du contrôle génétique de la réponse aux infections tropicales restent décevants. Pour expliquer ces discordances les travaux de l’équipe s’attachent à explorer certains facteurs comme : (1) l’hétérogénéité phénotypique qui oriente très fortement les travaux développés dans les thèmes 1 et 2 ; et (2) la diversité génétique des populations africaines (prise en compte dans le thème 3). Corollaire de cette complexité, il semble de plus en plus évident que ces infections interagissent avec la construction du système immunitaire et peuvent être à l’origine de nouvelles pathologies non infectieuses. Laquelle pression de sélection exercée par les maladies infectieuses pourrait jouer un rôle de premier ordre. Ceci représente le 4 ième thème de l’équipe.

  • Contrôle génétique de la réponse aux infections tropicales
    Le thème aborde plusieurs pathologies : paludisme, trypanosomose humaine africaine (THA), schistosomose, co-infections. Des suivis de cohortes de femmes enceintes et d’enfants ainsi que l’utilisation d’outils statistiques adaptés permettent de définir des phénotypes complexes et spécifiques de ces maladies.
  • Contrôle génétique du développement immunitaire
    Nos travaux s’intéressent au développement de cette réponse dès la naissance et au cours des premières années de vie. En effet, nous pensons qu’il existe de très fortes interactions entre les « conditions de vie in utero » (infections de la mère, apports nutritifs) et le développement immunitaire du foetus puis du jeune enfant.
  • Diversité génétique et structure des populations humaines
    L’utilisation des outils de la génétique des populations pour détecter les cibles de la sélection naturelle due aux infections peut contribuer à l’identification des gènes et des variants ayant joué un rôle majeur dans la défense de l’hôte humain contre les agents infectieux et dans le développement de l’immunité. Le développement de cette thématique est d’autant plus important que nos populations d’étude sont absentes des grands consortiums internationaux visant à améliorer notre connaissance de la diversité génétique de notre espèce (projets HapMap, HGDP (Human Genome Diversity Project), et 1000 Génomes).
  • Maladies infectieuses, auto-immunité et maladies allergiques
    Dans les pays développés près de 20% des enfants développent des pathologies allergiques variées et il existe une concentration familiale de cas en faveur de l’implication de facteurs génétiques dont certains connus. Cependant, ces facteurs génétiques ne peuvent à eux seuls expliquer les gradients de prévalence constatés entre pays développés et en voie de développement (PVD) ou encore le fait que les migrants en provenance des PVD rattrapent les niveaux de risque de leurs populations hôtes. Tous ces éléments sont en faveur de l’existence de facteurs environnementaux pouvant interagir avec les facteurs génétiques. Parmi eux, les infections parasitaires (helminthiques en particulier) pourraient jouer un rôle prépondérant.

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