Nous avons récemment observés que les enfants nés de mères infectées par Pf pendant la grossesse ont une immunité dérégulée 2 ans après leur naissance. Afin d’expliquer les mécanismes liés aux effets à long terme de l’infection maternelle à Pf sur l’immunité de l’enfant, nous émettons l’hypothèse que l’infection maternelle à Pf reprogramme les cellules souches néonatales afin de les contraindre, elles et les cellules immunitaires spécialisées qui en seront issues, à être de faibles répondeurs. Les modifications épigénétiques qui régulent l’expression génique sont connues pour être associées à une telle reprogrammation.
Par conséquent, les modifications épigénétiques des cellules progénitrices et les capacités fonctionnelles des cellules qui en découlent seront déterminées
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2022-2023